Le dimanche 4 février, Benoît Hamon était « officiellement » investi candidat à l’élection présidentielle lors d’une initiative organisée à la salle de la Mutualité, à Paris, après avoir déjoué tous les pronostics des turfistes des grands médias qui traitent les campagnes électorales comme des courses de chevaux.
L'occasion de revenir sur des semaines de commentaires avisés, glanés au cours du mois de janvier à l’occasion des débats et du scrutin de la « primaire de gauche » : ils donnent un aperçu non seulement de l’indigence, mais surtout de la convergence strictement propagandiste des commentaires d’un journalisme de caste, mobilisé au service de son prétendu « réalisme ». En un mot : Benoît Hamon le « rêveur », un cauchemar pour les éditorialistes associés.
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