
Nous insistions alors sur « la
manière impitoyable dont les tenanciers du microcosme médiatique traitent une
outsider qui ose dépasser le temps de parole qu’ils lui accordent et sortir du
rôle décoratif qu’ils lui prescrivent et de la position ancillaire qu’ils lui
assignent ». Et l’affaire n’en est, malheureusement, pas restée là.
Dans les jours qui ont suivi l’émission, les rappels à l’ordre ont continué de
pleuvoir, tous les moyens étant bons pour délégitimer, a
posteriori, la parole de Wiam Berhouma : attaques contre sa personne,
insinuations, mensonges et, last but not least, outrances d’Alain
Finkielkraut lui-même.
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