Nous avons signalé, dans
un précédent article, à quel point les mésaventures d’Alain
Finkielkraut sur la place de la République ont indigné l’éditocratie qui, à
l’unisson, a témoigné de sa bouleversante solidarité avec le philosophe pour
médias. L’occasion rêvée pour jeter le discrédit sur une mobilisation qui n’a,
selon eux, que trop duré.
Même si nous n’imaginions pas que
« l’affaire » allait être rapidement enterrée, nous pensions
toutefois que le pire était passé, a fortiori dans
la mesure où la version unanimement reprise par les défenseurs d’Alain
Finkielkraut dans les heures qui ont suivi l’incident a été depuis largement
remise en cause. Mais c’était sans compter sur l’inénarrable Michel
Onfray.
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