Grâce à la récente « affaire Dieudonné », l’amalgame entre antisionisme et antisémitisme n'a plus lieu d’être. Les choses sont en effet désormais
claires, et c’est peut-être le seul élément positif du bilan de la tragique
séquence politique que nous venons de vivre. Plus jamais on ne confondra l’antisionisme,
entendu comme une critique politique des fondements, des structures et de la
politique de l’État d’Israël, et l’antisémitisme, entendu comme la haine des
Juifs. Plus jamais on ne sous-entendra que l’opposition au sionisme, position
politique discutable mais légitime, dissimule en réalité un rejet, purement
raciste, des Juifs en tant que Juifs.
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