Qu’un journal affirme ses opinions réactionnaires, c’est bien là son droit et il n’y a pas de quoi s’en étonner ou s’en émouvoir. Mais lorsqu’un « magazine » – fût-il polémique et très à droite – propose un « dossier » de trente pages sur un sujet aussi complexe et important que le féminisme, et qu’il utilise les pires procédés pour ridiculiser ce combat, la critique s’impose.
Un modèle du genre donc, qui permet au magazine dirigé par Élisabeth Lévy de propager un discours empreint d’idéologie réactionnaire sous couvert d’ « enquête » journalistique.
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